Ils pourraient nous aider
« Et surtout, ce qui m’attriste le plus, c’est que les femmes deviennent tellement habituées aux commentaires méprisants des hommes, qu’elles les justifient… »
« Et surtout, ce qui m’attriste le plus, c’est que les femmes deviennent tellement habituées aux commentaires méprisants des hommes, qu’elles les justifient… »
« Les gars sont forcément tous des trous de cul qui profitent des filles. Et les femmes ont toutes besoins d’amour et de tendresse pour pouvoir coucher… »
« Faut dire que j’éprouve une haine profonde pour ces gens qui passent leur vie à se taire et laisser-faire, mais dont la conscience sociale s’allume ou s’éteint à la moindre directive des médias de masse à la manière d’une guirlande de noël sur minuteur automatique… »
« Et il faut dire que je n’étais pas la seule à avoir eu cette idée; des dizaines d’autres « indiennes » et « indiens » passaient aussi l’Halloween à mes côtés dans ce costume teinté d’ignorance et de white privilege… »
« Il argumente, essaie de me convaincre, avance qu’il trouve ça tellement plus sexy. Je garde mon boutte, je n’ai vraiment aucune envie qu’il m’éjacule dans le visage. Il revient à la charge, encore et encore, tout en continuant ses va-et-vient incessants, encore et encore… »
« Et surtout, ce qui m’attriste le plus, c’est que les femmes deviennent tellement habituées aux commentaires méprisants des hommes, qu’elles les justifient… »
« Dans cette société patriarcale, les filles ont réussi à se trouver un nid douillet dans la salle de bain. Victoire! »
Ça y était, le miracle avait agi! La pilule pouvait maintenant m’en faire baver en sortant son attirail d’effets secondaires.
« Sans avoir de pression directe de mes pairs, ma situation commençait à être perçue comme étrange ou hors de l’ordinaire : j’étais active sexuellement et je ne prenais pas la pilule, j’utilisais juste des condoms. Fucking weird… »
« « Vas-tu finir par venir? » que je te demande. Tu es froissé, fâché même. Moi aussi. Tu continues tes mouvements égocentriques de va-et-vient. C’est ironique, parce qu’on est censé s’aimer…»