Je scrappe toutes mes relations
« J’ai toujours saboté ces esquisses de relation avant qu’elles se dessinent… »
« J’ai toujours saboté ces esquisses de relation avant qu’elles se dessinent… »
« Je connais par coeur les mots blessants que tu te dis à toi-même. Je sais aussi que tu ne peux pas t’en empêcher, même si ça te détruit un peu plus à chaque jour… »
« Dans les rares rêves érotiques que j’ai eus, mon amante était toujours une femme. Une partenaire mystérieuse dont je ne voyais pas le visage, mais qui me faisait jouir jusqu’à l’orgasme… »
« Pis je sais pas si c’est un effet post-Christian-Grey #fiftyshadesofgrey, mais j’ai l’impression que plusieurs filles attendent le sauveur qui viendra leur faire aimer le sexe. Que la clé d’une vie sexuelle incroyable dépend d’un homme quasi-mythique, descendu du ciel, miraculeux, bref, presque aussi life changing que la divacup… »
« J’ai grandi avec une vision très mononucléaire et hétéronormée du couple et de la famille. Je regardais ces hommes et ces femmes et j’avais envie d’être à leur place. Pas surprenant alors que j’aie essayé pendant des années de trouver un homme avec qui construire ce genre de relation… »
« J’avais conscience (ou en tout cas j’étais convaincue) que c’était « impossible » et que j’étais « sale », mais j’avais quand même envie de coucher avec l’autre… »
« COMMENT JE SUIS CENSÉE SAVOIR QU’IL FAUT QUE JE PISSE APRÈS AVOIR FOURRÉ?!? »
« Quand j’ai annoncé à mes proches que j’étais lesbienne, personne n’a eu l’air terriblement surpris. J’avais trouvé un certain réconfort dans cette « non-surprise », comme une validation que c’était bel et bien mon orientation sexuelle… »
« Parce que, si mes dites jambes sont tolérables et que mes aisselles passent incognito dans le noir tant que je ne lève pas trop mes bras, mon bikini, lui, passe crissement moins inaperçu… »
« I wanted to prove them wrong. Elles n’auraient pas raison, elles ne sauraient pas mieux que moi qui j’étais, je ne serais pas lesbienne… »